Le marché immobilier est un espace aussi lucratif qu’ils fourmillent de faussaires en tout genre. Pour ne pas vous faire entuber à peu de frais par un faux courtier immobilier ou un courtier immobilier médiocre, voici 3 critères fondamentaux dont vous devriez tenir compte pour choisir judicieusement votre courtier immobilier.
Vérifiez si votre courtier est agréé
Supposons que vous habitiez à Bordeaux et que vous désirez entrer en contact avec un courtier immobilier à Bordeaux, la première chose que vous devez contrôler une fois que vous en avez trouvé un, est s’il est agréé. Pour savoir si votre courtier est réellement agréé, vous devez dans un premier temps vous assurer que celui-ci est titulaire d’un diplôme de niveau 1 obtenu par le truchement de l’IOBSP (Intermédiaire en Opérations de Banque et Solutions de Paiement).
Dans un second temps, vous devez vous renseigner aux fins de savoir si votre courtier détient une immatriculation auprès de l’ORIAS (l’Organisme pour le Registre des Intermédiaires en Assurance). Sans cette immatriculation, aucun individu ne peut se prévaloir de la qualité de courtier immobilier.
Renseignez-vous préalablement sur les services du courtier
Sur le marché de l’immobilier, vous aurez affaire à deux types de courtiers immobiliers. Certains courtiers vous accompagneront, vous donneront des conseils et vous mettront en contact directement avec des banques partenaires.
En revanche, d’autres monteront pour vous le dossier et feront à votre place toutes les démarches utiles jusqu’à ce que votre prêt ait trouvé un écho favorable auprès d’une banque partenaire et que l’achat immobilier soit conclu. Vous aurez donc à choisir votre courtier en fonction de vos besoins spécifiques.
Jetez un coup d’œil aux avis laissés sur le courtier
À l’ère du numérique, il est aisé de se faire une idée sur le sérieux et le professionnalisme d’un prestataire de service. Pour cela, il suffit de jeter un coup d’œil aux avis des personnes qui avaient eu recours à ses services. Si les avis sont majoritairement positifs, vous pouvez lui accorder une présomption de sérieux. Dans le cas inverse, vous savez à quoi vous en tenir.