Les jeunes entrepreneurs de nos jours ne cessent d’innover et font tout pour se faire un nom au sein de la concurrence. Grâce à internet et les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, etc), ils peuvent dorénavant demander de l’aide à des amis, des proches ou aux amis de leurs amis pour financer leur projet. C’est l’idée de base du Crowdfunding.
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Qu’il s’agisse de vendre un produit ou des services, réaliser une campagne de collecte de fonds sur internet, c’est avant tout un test grandeur nature. Le porteur de projet s’adresse directement aux internautes, il saura rapidement si son projet convient aux grands publics. Toutefois, il doit savoir choisir la plateforme correspondante à son projet pour réussir, à savoir : les plates-formes de prêts, les plates-formes de dons et les plates-formes spécialisées dans l’investissement en capital (ou equity).
Ses limites
Le Crowdfunding ou financement participatif convient pour tous les types de projets, du moment qu’ils soient attractifs et innovants : projets culturels, sociaux, environnementaux, numériques, etc. Cette technique convient donc pour tous les types d’entreprises, qu’elles soient petites ou grandes.
Cependant, elle présente quand même certaines limites depuis l’ordonnance du 30 mai 2014 qui supprime le monopole bancaire sur les prêts rémunérés à partir du 1er octobre 2014. Aussi, le décret du 16 septembre 2014 précise les conditions des prêts faits par des particuliers :
- Les prêts avec intérêt : dans la limite de 1 000 € par prêteur et par projet, la durée du crédit ne pouvant être supérieure à 7 ans.
- Les prêts sans intérêt : dans la limite de 4 000 € par prêteur et par projet.
- Le porteur de projet, quant à lui, ne pourra pas emprunter plus de 1 000 000 € par projet.