Le Portugal est l’un des pays européens où il est très avantageux d’acheter où de construire un logement à moindre coût. De plus en plus de particuliers sont séduits à l’idée de faire des bonnes affaires dans ce pays au niveau de l’immobilier.
La fin d’une crise
Dès 2013 après cinq ans de crise immobilière, le marché de l’immobilier se remet en route au Portugal. En effet, en 2015 le pays a su de nouveau séduire les acheteurs surtout dans la région de la capitale. Le marché s’était effondré de 30% mais entre 2012 et 2018 il est remonté de 27% grâce aux acheteurs étrangers à la recherche d’exonération fiscale et d’un meilleur cadre de vie d’après un site sur l’immobilier leader du marché.
Les conditions profitables d’un achat au Portugal
Les conditions de vie au Portugal sont très intéressantes car le pays possède en plus des conditions météorologiques agréables, une économie très profitable aux autres membres de l’Union Européenne. Les principaux acheteurs sont des étrangers venant de France ou du Royaume-Uni qui bénéficient de crédits à un taux très bas et donc très avantageux pour acquérir de la pierre. D’autre part, la fiscalité est aussi intéressante car les nouveaux acheteurs en sont exonérés pendant dix ans. Le gouvernement socialiste portugais actuellement au pouvoir soutient l’idée qu’il n’y aura pas de changement de ce côté là.
Les prix défiant toutes concurrences
Les prix défient toutes concurrences au Portugal. En effet, le mètre carré s’élève à 3607 euros ce qui est un chiffre très bas si on le compare à celui de la capitale française (d’environ 8400 euros). Les médias parlent d’une bulle planant sur le Portugal menaçant encore une fois leur économie. Il est vrai qu’en seulement deux ans, les prix ont beaucoup augmenté et surtout très rapidement. Dans le quartier d’Alfama un appartement de 160m² a été vendu à 420 000 euros ce qui correspond au double de sa valeur d’il y a dix ans. Cependant, le ministre de l’Economie, Manuel Caldeira Cabral affirme que les prix ont effectivement augmenté mais qu’ils restent toujours plus bas que ceux de Londres ou de Paris.